Bonjour à une nouvelle année en bonne santé !

S'il y a des mauvaises habitudes qui méritent d'être éliminées, la consommation excessive d'alcool et le tabagisme se disputent la première place. Bien sûr, c'est une chose de prendre la résolution de "ne plus jamais faire ça" alors que les souvenirs (ou les migraines) des fêtes de fin d'année sont encore douloureusement frais. Mais lorsque la volonté s'estompe et que les tentations reviennent comme le fantôme d'antan, il peut être difficile de s'en tenir à ces bonnes intentions. Voici donc quelques mesures incitatives supplémentaires pour vous aider à rester dans le droit chemin.

Donc, vous avez décidé de vous mettre au travail.

Vous avez arrêté de fumer, tant mieux ! Si l'amélioration de votre propre santé n'est pas une motivation suffisante, qu'en est-il de la santé de vos proches ? Les risques liés à la fumée secondaire "à un moment donné" peuvent sembler abstraits, mais de nouvelles recherches montrent que votre mauvaise habitude peut avoir un impact immédiat sur la capacité d'autrui à respirer. C'est ce qu'indiquent les résultats présentés lors de la réunion annuelle de l'American College of Chest Physicians. Des volontaires sains ont été contrôlés après avoir été exposés à la fumée de cigarette dans une chambre d'essai simulant un espace clos et enfumé. En l'espace de quelques minutes, les sujets ont vu leur capacité pulmonaire diminuer et leur stress oxydatif augmenter.

Vous dites qu'il n'y a pas de problème ? Eh bien, l'habitude suivante, qui semble relativement inoffensive, pourrait être littéralement sans conséquence - comme les lésions cérébrales dues aux accidents vasculaires cérébraux (AVC). Si vous vous félicitez de la rareté de votre gueule de bois, vous devriez peut-être reconsidérer la question. Des chercheurs finlandais ont comparé les habitudes de consommation d'alcool à l'incidence du risque d'accident vasculaire cérébral chez 2 682 hommes d'âge moyen suivis pendant près de 16 ans. L'analyse a montré que les hommes ayant plus d'une gueule de bois par an étaient 300 % plus susceptibles d'être victimes d'un accident vasculaire cérébral provoqué par un caillot. Une statistique qui donne à réfléchir !

fondamentale.

Publié le 1er janvier 2014

Publié le 1er janvier 2014

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