Chou et cancer du sein

Nous n'avons pas trouvé de meilleure façon d'honorer le Mois de la sensibilisation au cancer du sein en octobre que de rappeler aux femmes les bienfaits préventifs des fruits et des légumes, et en particulier du chou. Selon les conclusions de l'université du Nouveau-Mexique, il s'avère que les Polonaises mangent environ 30 livres de chou par an, contre 10 livres pour les Américaines, une différence qui, selon les chercheurs, contribue à réduire de 66 % le risque de cancer du sein en Pologne. En fait, les femmes polonaises qui ont immigré aux États-Unis ont triplé leur risque de développer cette maladie en une seule génération !

Parmi tous les légumes crucifères, le chou a les niveaux les plus élevés de deux glucosinolates anticancéreux, qui aident à déclencher des défenses enzymatiques et peuvent inhiber la croissance des tumeurs. Optez pour des méthodes de cuisson plus légères : Des recherches antérieures ont montré que l'ébullition prolongée réduisait la teneur en glucosinolates de 77 %. Il n'est donc pas étonnant que les effets protecteurs du chou soient plus prononcés lorsqu'il est blanchi ou consommé cru (comme dans la choucroute) au moins trois fois par semaine. Pour un chou "juste comme il faut", essayez notre recette vedette, "Chou aux noix et aux graines de sésame".

Une tasse de chou vert fournit 102 % de votre apport quotidien en vitamine K et 45 % de votre apport quotidien en vitamine C, le tout pour 20 calories. La corne d'abondance d'aliments susceptibles de lutter contre le cancer du sein comprend le chou-fleur, les pommes, le brocoli, les canneberges, les tomates et les haricots).

Publié le 1er octobre 2008